samedi, octobre 11, 2008

Lapalisse :Cornelis Engebrechtsz. [Netherlandish Painter, ca.1465-1527]

engelbrectsz  cornelis

Bien le bonjour à : MERCIER Christophe

MERCIER Christophe
France




Christophe Mercier est né en 1959. Après Les singes hurleurs sur l’autre rive, La Cantatrice est son deuxième roman. Il a traduit quelques romans d’auteurs anglais tels que Kate Saunders, Josie Lloyd, William Echikson ou Anna Dale.

Bibliographie :

La Cantatrice (Joëlle Losfeld, 2006)
Les singes hurleurs sur l’autre rive (Joëlle Losfeld, 1999)
Pour saluer Jean Anouilh (Christian de Bartillat, 1998)

Résumé de La Cantatrice :

Un village du Bourbonnais, un village ordinaire. Une vie de rumeurs, de non-dits. Une cantatrice célèbre s’installe dans une belle demeure des environs. C’est une femme ravagée par la boisson, mais sa beauté subsiste : elle fascine les hommes, et même certaines femmes. Son pouvoir de séduction risque, à son heure, de provoquer des ravages... La cantatrice est une chronique des passions enfouies : de belles dormeuses qui montrent les dents dès qu’une bourrasque de vent les arrache à leur sommeil.

Fragment from Christ Carrying the Cross: Saint John the Evangelist, 1500/05




Jean Hey, known as the Master of Moulins
Netherlandish, active in France, c. 1475–c. 1505

Fragment from Christ Carrying the Cross: Saint John the Evangelist, 1500/05

Oil on panel
10 3/4 x 7 7/8 in. (27.3 x 20 cm); image: 10 1/4 x 7 7/16 in. (26 x 18.8 cm)
Mr. and Mrs. Martin A. Ryerson Collection, 1937.1000

Medieval to Modern European Painting and Sculpture
Gallery 202
Fragment from Christ Carrying the Cross: Saint John the Evangelist


Exhibition, Publication and Ownership Histories

Exhibition, Publication and Ownership Histories
Publication History

Bernard Berenson, Italian Pictures of the Renaissance: A List of the Principal Artists and Their Works, with an Index of Places, Oxford, 1932, p. 141; rev. ed., Italian Pictures of the Renaissance:Central Italian and North Italian Schools, vol. 1, London, 1968, p. 83.

Christian Hornig, Cavazzola, Munich, 1976, p. 124, no. C4.

Martha Wolff, “Reconstitution d’une scène de la Passion peinte par le Maître de Moulins,” Revue de l’art, no. 147 (2005), pp. 58–66, figs. 4–6, 11.

Martha Wolff in Martha Wolff et al., Northern European and Spanish Paintings before 1600 in the Art Institute of Chicago (Chicago, 2008), pp. 23-30, ill.
Ownership History

M. Guggenheim, Venice, by 1892 [according to receipt in Art Institute Archives; sold to Martin A. Ryerson (d. 1932), Chicago, June 1892 [receipt cited above.]; by descent to his widow (d. 1937), Chicago; bequeathed to the Art Institute of Chicago, 1937.

2005 La Vierge de Douleur du Maître de Moulins acquise par l'Art Institute de Chicago

La Vierge de Douleur du Maître de Moulins acquise par l'Art Institute de Chicago

Jean Hey (le Maître de Moulins) - Vierge de douleur - Chicago, Art InstituteJean Hey (le Maître de Moulins)
Vierge de douleur
Huile sur panneau - 27 x 18,5 cm
Chicago, Art Institute

29/7/05 - Acquisition - Chicago, Art Institute - Depuis sa création il y a 40 ans, la Revue de l’Art publie régulièrement des articles concernant le XVe siècle en France. Un an après le dossier du Louvre consacré au centenaire de l’exposition de 1904 (voir la recension ici-même), le nº 147-2005-1 propose des avancées importantes concernant les principaux peintres de cette période (voir le sommaire de la revue). Parmi eux, l’article de Martha Wolf, conservateur à l’Art Institute, fera date puisqu’il est consacré à la « Reconstitution d’une scène de la passion peinte par le Maître de Moulins » (pages 57 à 68). Dans une brève précédente (19/2/2004) nous avions signalé l’interdiction temporaire de sortie de Grande-Bretagne d’un petit panneau représentant la Vierge de douleur attribué à cet artiste 1. Fin 2004, celui-ci a été acquis par le musée de Chicago. Il y a rejoint un saint Jean l’Evangeliste de même format, usé par endroit, offert au musée en 1937 et quasiment inédit, classé dans les listes de Berenson en 1932 sous le nom de Cavazolla2. Les deux fragments appartenaient à un Portement de Croix, volet droit d’un diptyque, dont la partie gauche complète est conservée à Glasgow (Un chanoine presenté par un saint Maurice ?- Glasgow, Kelvingrove, Art Gallery and Museum). La ligne d’horizon du paysage, continue aux trois morceaux, les analyses scientifiques (bois, dessins sous-jacents, barbes des bords) et l’historique valident cette reconstitution. Datée de l’extrême fin de la carriere du Maître de Moulin, vers 1500, cette œuvre témoigne d’une influence - et d’une iconographie - italianisante, se faisant sentir après les campagnes menées par Charles VIII et Louis XI en Lombardie. L’auteur propose même une nouvelle lecture plus précise et à la lettre du poème de Jean Lemaire des Belges dans lequel notre artiste est mentionné non pas dans la strophe des maîtres flamands anciens, mais en compagnie de Léonard de Vinci, Bellini, Perugin et Jean Perreal. Il n’y serait pas considéré comme uniquememt peintre renommé, mais en tant que représentant de la tendance renaissante novatrice.

1. De nouvelles preuves, que Jean Hey et le Maître de Moulin ne font qu’un, ont été fournies récemment, mettant encore plus en porte à faux l’obstination d’Albert Chatelet à voir plusieurs mains différentes dans le corpus : Pierre-Gilles Girault et Etienne Hamon, « Nouveaux documents sur Jean Hey et ses clients Charles de Bourbon et Jean Ceuillette », Bulletin Monumental, nº 161-2, 2003, pp 117-125.
2 Il est assez étonnant que ces deux panneaux n'aient jamais été pris en compte dans la littérature sur Jean Hey, la proposition de lui attribuer le saint Jean dans les années 1950 ayant été refusée par Charles Sterling - même les plus grands historiens d'art se trompent parfois - et la Vierge ayant été reproduite sous ce nom dans plusieurs catalogues de marchands d'art anglais vers 1960.

Publications de la Société bourbonnaise des études locales (SBEL)

Le site internet du mois : S. B. E. L. même en anglais >http://sbel03.planet-allier.com/pages/summer_index.html


http://sbel03.planet-allier.com/pages/summer_index.html

The S. B. E. L. was founded as a departemental branch of the Société Centrale des Etudes Locales de l'Enseignement Public, following a ministerial writ issued on february 25. 1911 which meant to promote local history and geography among the teaching profession .
Since it was established, the society has published a review whose primal title "Notre Bourbonnais" changed for "Etudes Bourbonnaises" in 1984. In its quarterly issues, researchers may find an opportunity to publish freely maiden articles or studies as well as to get in contact with already recorded works. Yet , it is also intended for a larger audience keen on the various domains of local history always related to a particular historical period.
The review contains 200 pages and it is delivered on subscription.
Conferences on free admission are organised twice a year, in autumn and spring. They are delivered by specialists in various sectors of local history and are meant to update research.
The various documents published by S. B. E. L. are available in public libraries as well as universities, societies and Archives Départementales et Municipales.
S. B. E. L. is a member of CTHS ( Comité des Travaux Historiques et Scientifiques) and of the Fédération des Sociétés Savantes du Centre de la France . The latter organizes a congress on a different subject every year.

Prochaine conférence SBEL -MOULINS 03 : "Les Juifs déportés de l'Allier: 1942-1944" par François Demaegdt

Prochaine conférence

Samedi 18 octobre 2008 - 15 heures

Moulins - Colisée - Salle 1

"Les Juifs déportés de l'Allier: 1942-1944"

par François Demaegdt




Le texte de la conférence donnée par Dominique Laurent le samedi 29 mars
"Le rôle de l'éducation dans la société médiévale : l'exemple du Bourbonnais"
est disponible au siège de la S. B. E. L.