mercredi, mai 14, 2008

ASSOCIATION DU SEIGLE DES TERRES DE MARGERIDE.

Association : ASSOCIATION DU SEIGLE DES TERRES DE MARGERIDE.
No de parution : 20060028
Département (Région) : Cantal (Auvergne)

Lieu parution : Déclaration à la sous-préfecture de Saint-Flour.
Type d'annonce : ASSOCIATION/CREATION


Déclaration à la sous-préfecture de Saint-Flour. ASSOCIATION DU SEIGLE DES TERRES DE MARGERIDE. Objet : définir les orientations générales en matière de politique qualité de la filière ; valider les évolutions et les modifications du cahier des charges détenu par les moulins d’Antoine ; valider les contrats existants entre les différents maillons de la filière ; aider à l’amélioration des techniques et pratiques agricoles. Siège social : 6, rue du Stade, 15300 Murat. Date de la déclaration : 18 mai 2006.

Les ECHOS 2006 Georges Plassat, l'actuel PDG, reste à la tête de Vivarte.

INDUSTRIE • HABILLEMENT
Le fonds d'investissement français s'apprête à vendre le groupe d'habillement et de chaussures au britannique. Il a doublé sa mise en un peu plus de deux ans. Georges Plassat, l'actuel PDG, reste à la tête de Vivarte.
PAI Partners vend Vivarte pour 3,5 milliards d'euros à Charterhouse
Les Echos n° 19816 du 15 Decembre 2006 • page 19

Le fonds PAI Partners a doublé sa mise en un peu plus de deux ans. Le fonds d'investissement français a annoncé hier avoir accordé à Charterhouse une exclusivité pour la négociation du contrôle de Vivarte, le groupe d'habillement et de chaussures, plus connu pour ses enseignes La Halle !, André, San Marina, Kookaï ou Caroll. Conseillé sur ce dossier par Rothschild, il devrait vendre la société à son homologue britannique pour une valorisation totale de 3,5 milliards d'euros, dette nette incluse. Or, PAI a acheté environ 55 % du capital du groupe en avril 2004 pour une valorisation totale, dette incluse, de 1,5 milliard d'euros. Le solde du capital avait été acquis par la famille Descours (23 %) et par Sagard (10 %), un fonds qui gravite dans l'orbite de la famille canadienne Desmarais. Par la suite, PAI s'est renforcé à 65 % dans Vivarte.

Aujourd'hui, Charterhouse achète les parts des financiers, tandis que la famille Descours a l'intention de rester au capital. Le projet nécessite encore l'information et la consultation des instances représentatives de personnel. Le britannique, conseillé par Goldman Sachs, a bien tiré son épingle du jeu, puisque cinq autres fonds avaient marqué un intérêt : BC Partners, Candover, CVC, Cinven et LBO France. Il a pris une longueur d'avance il y a quinze jours, lorsque Georges Plassat, le PDG de Vivarte, a explicitement exprimé sa préférence pour l'équipe française de Charterhouse, déjà à l'origine de LBO (achats avec un fort recours à l'endettement) sur Cegelec, TDF et plus récemment Elior, les parkings d'Eiffage et Fives-Lille.

Un bon redressement
L'équipe dirigeante, de 15 à 20 personnes, devrait prendre une part importante du capital. Georges Plassat va rester à la tête du groupe. Il est d'autant plus légitime qu'il a bien redressé la société depuis son retour en avril 2004, après avoir été évincé pendant un an. Le chiffre d'affaires est passé de 2 milliards d'euros en 2004 à 2,3 milliards en 2006 (l'exercice est clos en août), tandis que, dans le même temps, le résultat d'exploitation est passé de 220 à 365 millions. « Avec un pied en périphérie et un autre en centre-ville et un portefeuille d'enseignes aux positionnements bien différenciés, Vivarte dispose d'un très beau modèle qui le rend plus résistant qu'une enseigne monomarque », estimait il y a quelques semaines un banquier parisien travaillant pour un acquéreur potentiel (« Les Echos » du 25 octobre). L'ancien Groupe André dispose de plus de 2.600 points de vente dans le monde, pour près de 15.000 collaborateurs. Il détient une quinzaine d'enseignes dans l'habillement et la chaussure.

L'international selon Georges Plassat, Président du groupe Vivarte

L'international selon Georges Plassat, Président du groupe Vivarte
Le groupe Vivarte rassemble les enseignes : André, La Halle O Chaussures, San Marina, Chaussland, Orcade, Minelli, Besson, Caroll, Kokaï, La Halle !, Parti Prix,...

Un constat s'impose : l'international, tout le monde en parle mais les succès confirmés sont rares, malgré les tentatives, nombreuses et répétées.
Toutes les stratégies ont été essayées : chez les " généralistes ", Wall Mart a utilisé le cash flow, Carrefour s'est frotté à une mondialisation très rapide, Casino a joué au suiveur prudent, à la différence d'Auchan, le testeur… La meilleure démarche semble être celle d'Ahold qui évoluant sur un marché domestique restreint (la Hollande) s'est développé au USA en procédant par acquisition. Chez les spécialistes, deux systèmes " s'affrontent " : le système " dur ", qui est aussi le système dominant, symbolisé par McDonald's qui procède par intégration, avec un droit d'entrée très élevé, où un système plus souple, basé sur un savoir faire et un développement plus rapide. Mais les deux rencontrent des difficultés…
Alors, petite check-list selon Georges Plassat des questions à se poser avant de boucler les valises :

Qu'est-ce que l'international ?
Un autre monde bien sûr, ce qui sous-entend aussi, d'autres langues, d'autres schémas d'urbanismes, d'autres monnaies, d'autres logiques immobilières, d'autres relations à la consommation, d'autres législations, d'autres maturités économiques… le développement international implique d'abandonner absolument tous ses repaires quotidiens, en n'oubliant jamais qu' " on n'est jamais chez soi". Une enseigne étrangère peut à tout moment être rejetée par le consommateur local. La xénophobie liée aux enseignes, bien plus qu'aux marques, est toujours latente.

L'international recouvre aussi trois dimensions : une dimension régionale (par exemple l'Europe du sud), sans doute plus facile à appréhender, mais de plus en plus, le développement se joue sur une échelle continentale, voire mondiale (Carrefour).

Qu'exporte-t-on ?
Un produit, un format/concept, une marque ?…

Quelle formule de développement adopter ?
La franchise, l'affiliation, le succursalisme ?…

Et pourquoi se lancer dans l'aventure ?
Certains diront qu'il s'agit de capter un marché qui s'ouvre, de diversifier les risques, d'utiliser son cash flow, de tester sa capacité à valoriser un concept…
Georges Plassat n'y croit pas. Pour lui, les motivations sont de deux ordres : une pression du marché, notamment pour les sociétés cotées en bourse mais, surtout, surtout, le développement est guidé par l'ambition des hommes. Les dirigeants rêvent de nouvelles aventures, de voyages, bref, de se faire plaisir…

Qu'est-ce qu'il ne faut pas faire ?
Suivre, se laisser entraîner, partir sans base domestique puissante ; se limiter aux bases de données : pour se doter d'une vraie sensation de marché, il faut le vivre soi-même ; photocopier le modèle de base, coloniser les équipes locales ; piloter les affaires à distance ; se disperser, partir tout azimut ; s'imposer un timing inadapté, ne pas ménager ses équipes, s'obstiner…

Reste que pour Georges Plassat, si le développement à l'international est un rêve de dirigeant, c'est aussi un rêve important à vivre, et qu'il résume dans un clin d'œil : Si tu avances, tu meurs ; Si tu recules, tu meurs ; Alors, pourquoi reculer ?


PROCOS

http://www.procos.fr/public/fr/georgesplassat.htm


Georges PLassat a été lycéen à Moulins (Allier)

L ANGUILLE VAGABONDE vers Chinon

L ANGUILLE VAGABONDE

15, ROUTE EGLISE
37500 - ST GERMAIN SUR VIENNE

Le restaurant ne porte plus ce doux nom ,en ces lieux ou passait François Rabelais.

Il reste l' Auberge du Goujon qui Frétille
Rue Gambetta, 47160 Buzet-Sur-Baise
Tel : 05 53 84 26 51