mercredi, juin 18, 2014

Concert lyrique caritatif intitulé « L’Art contre le Silence » avec le soutien du chef d’orchestre Philippe Jordan

L’Association STOP AUX VIOLENCES SEXUELLES organise un concert lyrique caritatif intitulé « L’Art contre le Silence » Rendez-vous le mercredi 18 juin à 20h, au Théâtre Antoine 14, bd de Strasbourg (Paris 10e ) Un concert donné par Karine Deshayes et Franck Ferrari, parrains de l’Association, et leurs nombreux amis chanteurs, musiciens et comédiens, avec le soutien du chef d’orchestre Philippe Jordan Pour plus d’information www.stopauxviolencessexuelles.com

mercredi, mai 21, 2014

Bravissimo ...La musicologue et ancienne attachée de presse de l'opéra de Paris Pierrette Chastel Chevalier de l'ordre du Mérite 15 mai 2014

France Musique ecoutez Depeche notes Toute nos félicitations à cette grande professionnelle .Originaire de Varennes sur Allier, elle enseigna à Moulins avant d'être pendant 30 ans l'attachée de presse de l'Opéra de Paris. Chargée de communiquer pour l'opéra avec les plus grandes divas...La très sympathique Pierrette a toujours aidé ses amis défenseurs du patrimoine culturel en Bourbonnais, qu'ils soient de l'est ou de l'ouest de l'Allier. Bravissimo

mardi, mars 04, 2014

Prieuré grandmontain de Grobois >>> un endroit un peu secret Ô taillo

Pour les amateurs bourbonnais de Pete SEEGER *** Ecoutez France-Inter et Philippe MEYER

Michael Auroy and John Taillardat first

vendredi, novembre 01, 2013

En hommage à Henri Delorme- Souvigny Dimanche à 15 HOO_ Orgues en Bourbonnais_

03 Novembre Amis du patrimoine religieux en Bourbonnais : conférence à Souvigny Les Amis du patrimoine religieux en Bourbonnais tiendront leur séance publique annuelle le dimanche 3 novembre à 15h, dans la salle annexe de l’église Saint-Marc de Souvigny (entrée par la cour de l’ancien château, 12, rue Dr. Jules Cordier). Cette séance, ouverte à tous, sera consacrée aux Orgues en Bourbonnais, en hommage à Henri Delorme, ancien titulaire de l’orgue Clicquot de la prieurale.
1991 Henri Delorme accueille le photographe Willy Ronis.
Pierre Missioux rappellera son souvenir et présentera le patrimoine instrumental de la région. Il sera ensuite possible d’entendre l’orgue, tenu par son actuel titulaire, Pierre Dubois.

mardi, juin 18, 2013

In memoriam L’illustratrice Lucile Butel est décédée...elle avait habité Saint-Pourçain et étudié à Moulins. Son mari Etienne Morel...était le créateur -illustratuer de la plus mignonne des petites souris

retrouvé dans la Croix Culture - L’illustratrice Lucile Butel est décédée le 18 juillet 2012 Lucile Butel avait créé pour Bayard-Presse les personnages de David et Marion et illustré toutes les couvertures de Pomme d’Api, depuis son lancement en 1966 jusqu’à 1973.On lui doit aussi de nombreux ouvrages publiés aux éditions du Père Castor, dont La Vache Orange et Le Cheval bleu, devenus des classiques du livre pour enfants. Elle avait publié d’autres ouvrages aux éditions Gautier-Languereau, dont Le beau Noël de Fontanille couronné par le prix Saint-Exupéry en 1987.Elle s’est éteinte mercredi 18 juillet à l’âge de 82 ans, dans le Limousin, où elle vivait depuis une vingtaine d’années. Précision : Son mari Etienne Morel...était le créateur -illustrateur de la plus mignonne des petites souris http://www.amazon.fr/La-Plus-Mignonne-petites-souris/dp/2081601109 http://ecx.images-amazon.com/images/I/512DP09JQ5L._SX342_.jpg

mercredi, mai 22, 2013

Dans la Nouvelle République : le compositeur Henri Dutilleux est mort

Actualité 37 - Tourangeau de cœur, le compositeur Henri Dutilleux est mort 22/05/2013 15:49 Souvent présenté comme l'un des compositeurs contemporains les plus joués au monde, Henri Dutilleux est mort ce mercredi 22 mai. Il était âgé de 97 ans. Angevin de naissance, il était bien connu en Touraine. Il était amoureux de la Loire et possédait une maison à Candes-Saint-Martin : en 2011 il l'avait léguée à la commune en l'honneur de sa femme, Geneviève Joy, pianiste réputée, disparue en 2009. Cette maison est aujourd'hui gérée par l'association Foyer Geneviève Joy et Henri Dutilleux. En Indre-et-Loire, Henri Dutilleux a aussi donné son nom à un concours international de composition : il se déroule à Saint-Pierre-des-Corps tous les trois ou quatre ans depuis 1990.

Correspondance depuis la Chine... via Weibo Estuaire de la Loire pour Jean Blaise..notre grande fragilité

Salut Georgio, voici quelques nouvelles de votre ami le canard gonflable et les commentaires que son ixième coup de mou a suscité sur un réseau social chinois (Weibo). PS On se souvient du même événement vers Nantes en 2007 et Sidney Wednesday, 15 May 2013 The most frequently searched for term on Weibo today was the Rubber Duck created by Dutch conceptual artist Florentijn Hofman. The Rubber Duck, a 16.5 meter high, air-filled yellow mock duck, was initially launched in waters off the coast of France in 2007, and has since made tours to arts festivals around the globe, including Sydney, Osaka and Sao Paolo. According to the project's description on Hofman's website, the Rubber Duck "knows no frontiers, does not discriminate people and does not have a political connotation." On the evening of 14 May, the Rubber Duck began to deflate in Hong Kong's Victoria Harbour, leading netizens on the mainland and in Hong Kong to respond en masse. While harbour authorities promptly reassured those concerned that the duck was merely "taking a nap," netizens continued to speculate about the reasons for the duck's unexpected deflation. While the Rubber Duck in fact deflated due to several punctures, scores of netizens concluded that the duck had indeed succumbed to the most recent H7N9 strain of avian influenza.[1] One commentator remarked with a sense of wit: "Before, there was the bird flu, now there is a giant yellow duck. It seems that birds are getting more and more confused."[2] After witnessing the deflation of the duck, "avian influenza now seems truly frightening," another offered.[3] Others argued, in reference to the recent death of an employee at Ogilvy due to overworking, that on account of the fact that the Rubber Duck had been "working" for more than ten consecutive days, it was logical that it had "passed away".[4] In light of the Duck's deeper artistic purpose to confront viewers with a sense of innocence in a chaotic, troubled world, yet others issued more serious responses, noting under images of the duck before and after its deflation that "our country truly is a paradise for destroying childhood."[5] The often tense relations between mainlanders and residents of Hong Kong were also subject of some netizen commentary. The Rubber Duck's deflation is "hardly due to pollution", as some had proposed. Rather, "according to (my) information, about 30 people threw cigarette butts at the duck and caused it to rupture. I guess Hong Kong residents must loathe the nonsense-talk of mainlanders…"[6] The Rubber Duck is due to remain in Hong Kong for at least another two weeks before resettling in another location. [1]禽流感太强大了 [2]前有禽流感,后有大黄鸭,鸡越来越不好混了哇 [3]小编只想说,禽流感真是太可怕了 [4]又一个过劳死,鸭鸭你太辛苦了 [5]来中国前的大黄鸭,来中国后的大黄鸭,我们国家果然是抹杀童年的天堂啊 [6]难道太过霸气终将侧漏吗。。。据说被人扔了30多个烟头轰炸的结果。。。估计是港人厌恶内地人者的瞎扯吧

vendredi, mai 03, 2013

Loic BIDAULT

, Loic BIDAULT ancien du CESA, promotion 1974, Directeur du Parc Naturel Régional Loire-Anjou-Touraine, vient d'être élu Président du Conseil d'Administration de Polytech Tours. Nous le félicitons pour cette prise de fonction. @bourboturones

lundi, octobre 22, 2012

Denis Diderot en majesté ! Paradoxe sur le comédien. Denis Podalydès et Gabriel Dufay s’entretiennent sur ce sujet.

Suivi de Denis Diderot, Paradoxe sur le comédien.Paradoxe sur le comédien, ouvrage posthume de Denis Diderot mis à la connaissance du public en 1830, a immédiatement attisé les passions et n'a cessé, depuis, de susciter toutes sortes de controverses, d’avoir des partisans enthousiastes ainsi que des détracteurs farouches, ces derniers se retrouvant souvent chez les gens de théâtre, directement impliqués dans la réflexion.Ainsi, des artistes aussi illustres que Talma, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Jacques Copeau, Beatrix Dussane, Louis Jouvet, Jean-Louis Barrault ou encore Maurice Ronet, se sont élevés contre les thèses défendues dans ce livre. A l’inverse, d’autres, plus rares, en ont fait leur bible, tel Michel Bouquet, voyant dans cet ouvrage une source d’inspiration et de vérité pour l’acteur. Pourquoi tant d’excès et de réactions passionnées autour de ce Paradoxe ? L’acteur idéal n’existe pas et l’objectif fixé par Diderot est passionnant car il est impossible à atteindre. Il demande un travail infini, qui toujours est susceptible d’être remis en question. L’homme paradoxal, c’est le comédien, mais c’est aussi chacun de nous, dans notre petitesse et notre grandeur, qui consiste à se hisser à la hauteur de rêves qui nous dépassent. En guise d’ouverture à ce texte canonique, Denis Podalydès et Gabriel Dufay s’entretiennent sur ce sujet. Fin connaisseur de Diderot Denis Podalydès se prête au jeu d’un échange au cours duquel il s’interroge sur le Paradoxe, ses prolongements et ses résonnances dans nos générations et parcours respectifs. Les deux comédiens se retrouvent dans la situation même du Paradoxe : tels les deux mystérieux interlocuteurs de Diderot, face à leurs contradictions, ils conversent à bâtons rompus, à coups de digressions et de tergiversations autour du comédien. Bien plus qu’une nouvelle édition commentée du Paradoxe, cet ouvrage décloisonne la réflexion autour d’une oeuvre tant commentée par les universitaires. Editeur ARCHIMBAUD/BELLES LETTRES Collection HORS COLLECTION Auteur PODALYDES D/DUFAY G/ Disponibilité Disponible Parution 26/11/2012 ISBN 9782251444482 EAN 9782251444482 Dimensions Epaisseur : 15, Largeur : 136, Hauteur : 211 Prix TTC 19,00 € Montant HT 17,76 €

vendredi, octobre 05, 2012

Bravo Pierre Combescot-Prix Goncourt 1991

Connaissance des arts N° 531 septembre 1996- Pierre Combescot au sujet de l'antiquaire Jean-Marie Rossi..mappemondes de Coronelli.

mercredi, octobre 03, 2012

Souvigny: le Festival baroque ...Hommage à Henri Delorme...Succès de fréquentation +13 %

La Montagne Moulins

dimanche, septembre 30, 2012

L'actualité de Bruno COCSET *** de Tours...

Bruno Cocset Bruno Cocset, né en 1963, est diplômé du Conservatoire National de Région de Tours dans la classe de Didier Aubert (Médaille d'or en 1979). Reçu au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon en 1980, il y sera l'élève d'Alain Meunier, puis de Jean Deplace dont il quitte la classe en mars 1983 en raison de divergences stylistiques. Il aborde le violoncelle baroque et le jeu sur cordes en boyau en autodidacte, puis avec Christophe Coin, devenant le premier élève diplômé de sa classe au Conservatoire National Supérieur de Musique et Danse de Paris (1er Prix à l’unanimité en 1986). Il suit également les master-classes du violoncelliste Anner Bijlsma et du violoniste Jaap Schroeder. En "violoncelliste nomade" de la scène baroque, il vit alors vingt années riches d'expériences et de confrontations musicales : Les Arts Florissants, Mosaïques, Fitzwilliam, l'Ensemble Baroque de Limoges, Le Concert Français, La Petite Bande, Les Musiciens du Louvre, Les Talens Lyriques, Arsys, Ricercar Consort, l’Arpeggiata, Stradivaria, l'Amoroso, Al Ayre Espanol, Henri Ledroit, Véronique Gens, Maurice Bourgue, Franz Brüggen, Gustav Léonhardt, Jos Van Immersel, Jean-Claude Malgoire, Philippe Herreweghe… Ses "ports d'attaches" les plus fidèles sont Il Seminario Musicale (Gérard Lesne) 1988-2004, et le Concert des Nations et Hesperion XX-XXI (Jordi Savall) 1990-2005. En 1996, il fonde Les Basses Réunies et autoproduit son premier enregistrement soliste : les sonates d’Antonio Vivaldi. Ce disque que le label Alpha accueille dans sa collection reçoit le "Premio Vivaldi" de la fondation Cini à Venise. 6 autres enregistrements sont réalisés : Barrière, Bach (suites), Frescobaldi, Boccherini, Geminiani, Bach (sonates) : tous saluées par la presse musicale française et internationale. Ainsi il est régulièrement invité à jouer ces programmes en France, en Europe, au Québec, et en Russie. Chacun des projets discographiques est relié à une recherche sonore et organologique avec le facteur et luthier Charles Riché. Grâce à cette quête d'unir geste instrumental et geste musical tout en explorant un répertoire toujours plus vaste, neuf instruments vont naître de leur collaboration : plusieurs violoncelles, et un consort de violons du 17ème siècle "a la bastarda". Aujourd'hui, en musicien chercheur, Bruno Cocset propose ainsi un violoncelle "pluriel". Il se consacre exclusivement à cette voie et à l'enseignement : depuis 2001 au CNSM de Paris où il partage la classe avec Christophe Coin, ainsi qu’à Barcelone à l’Ecole Supérieure de Musique de Catalogne (ESMUC) où il crée la classe de violoncelle historique en 2002. En septembre 2005, il est nommé professeur à la Haute Ecole de Musique de Genève. Il donne aussi depuis 1988 de nombreuses master-classes : à la Fondation Royaumont, dans les Conservatoires de Bayonne, Caen, Strasbourg et Vannes (France), à San-Felliu de Guixols (Girona-Espagne), St Petersbourg (Russie), Prague (République Tchèque), Bucarest et Cluj (Roumanie).

Ouest-France Nantes : Librairies menacées dans l'Ouest -Sodis ferme ?

Entretien Louis-Marie Cottineau, directeur de Livre diffusion, dont la fermeture est confirmée, après celle d'Interforum (Editis). Ne reste plus que le Centre de distribution régional du livre (Hachette), également menacé. Quel est le rayon d'action de Livre diffusion ? Combien de livres mettez-vous à disposition des petits libraires ? Livre diffusion est un centre de gros pour le grand quart nord-ouest de la France, avec près de 700 clients. Nous sommes une très grande librairie de 300 000 livres, où les petits libraires de campagne viennent faire leur marché. Ce sont les petits points presse avec un rayon livres, les petites librairies de Nozay, Ancenis, Blain, Nort-sur-Erdre, Clisson, qui nous commandent les livres à l'unité, sans passer par les distributeurs nationaux. Nous permettons une gestion mutualisée des frais de transports. Demain, ces libraires devront accueillir six transporteurs différents à plein tarif et sans garantie de délais. Pourquoi la décision de fermer Livre diffusion ? L'un des actionnaires, Sodis, distributeur de Gallimard, a décidé de supprimer ce réseau créé à une époque où le libraire de province attendait une à deux semaines pour recevoir sa commande. En pleine crise du livre, les gros distributeurs estiment pouvoir faire le même travail sans nous. Ils veulent recapter la distribution du livre en secteur rural. Mais notre réactivité ne se remplacera pas. Les grosses librairies, elles, ne passent donc pas par votre intermédiaire ? Elles anticipent les commandes, notamment avant la rentrée littéraire. Mais lorsqu'un succès de lecteurs provoque une demande inattendue, les gros libraires comme Coiffard ou la Fnac ont recours à nous pour réassortir un titre. Nous leur servons d'itinéraire bis. Comment fonctionnez-vous avec les petits libraires ? Ma cliente libraire d'Hoedic quitte son île quatre fois par an. Elle passe une matinée chez moi pour choisir les livres qu'elle saura vendre. Demain, elle devra fureter sur les newsletters pour choisir et elle passera commande au prix fort. Les petits libraires seront dévorés par les frais de port, de stock, de retour. Pour vous, c'est la fin des petits libraires ? Des financiers parisiens ont fait le choix de faire disparaître nos libraires de quartier et de campagne. À l'heure où les jeunes générations se remettent à lire, il faut s'interroger sur notre mode de consommation culturelle, alors qu'un corps de métier va disparaître, celui des libraires passeurs de culture. Recueilli parDaniel MORVAN

jeudi, septembre 06, 2012

Ecouter Henri DELORME

Les tables rondes de RCFDécouverte de l'orgue de Souvigny, avec Jean Brosset et Henri Delormes

dimanche, mai 06, 2012

Présidentielle : les résultats dans l'Allier (infographie)

lundi, avril 30, 2012

Roland Moreno...avant la carte à puce

jeudi, avril 26, 2012

Paul Krugman et l'Europe Bravo...Poussée à bout par ses dirigeants, l’Europe est au bord du suicide...

Débats jeudi 26 avril 2012 Poussée à bout par ses dirigeants, l’Europe est au bord du suicide Paul Krugman Le 14 avril, le s’est fait l’écho d’un phénomène qui se développe en Europe: le suicide lié à la crise économique, les gens se donnant la mort par désespoir, après avoir perdu leur emploi ou vu leur entreprise faire faillite. L’article était bouleversant. Mais je suis sûr que je n’ai pas été le seul lecteur, notamment parmi les économistes, à me dire que le problème n’était peut-être pas tant les individus que l’apparente détermination des dirigeants européens à pousser l’ensemble du continent au suicide. Prenons le cas de l’Espagne, qui est aujourd’hui l’épicentre de la crise. Elle n’est pas en récession, mais en pleine dépression, avec un taux de chômage de 23,6% – chiffre comparable à celui des Etats-Unis pendant la crise de 1929 – et de plus de 50% chez les jeunes. Cela ne peut pas durer, et c’est précisément pour cela que les taux d’intérêt que doit payer Madrid ne cessent d’augmenter. En un sens, peu importe dans quelles circonstances l’Espagne en est arrivée là. Mais ses problèmes n’ont rien à voir avec les histoires racontées par les dirigeants européens, en particulier en Allemagne. Le pays ne peut être accusé de laxisme budgétaire: à la veille de la crise, sa dette publique était peu élevée et son budget, excédentaire. Mais l’Espagne a été malheureusement frappée par une énorme bulle immobilière, due en grande partie aux prêts colossaux consentis par les banques allemandes à leurs homologues espagnoles. Quand la bulle a éclaté, l’Espagne s’est retrouvée avec une économie exsangue: les problèmes budgétaires du pays sont la conséquence de la crise, et non sa cause. Pourtant, le remède prescrit par Berlin et Francfort est, vous l’aurez deviné: encore plus de rigueur. Je n’irai pas par quatre chemins: c’est totalement dément. Voilà plusieurs années que l’Europe applique des plans d’austérité extrêmement rigoureux et les résultats sont exactement ceux qu’auraient pu prédire des étudiants en histoire: ces plans n’ont fait qu’aggraver la récession dans laquelle ces pays étaient déjà plongés. Et comme les investisseurs prennent en compte la situation économique d’un pays pour évaluer sa capacité de remboursement, les programmes d’austérité n’ont même pas contribué à réduire le coût de l’emprunt. Quelle est la solution? Dans les années 1930, la condition primordiale pour sortir de la crise a été l’abandon de l’étalon-or. L’équivalent aujourd’hui serait d’abandonner l’euro et de revenir aux monnaies nationales. Une telle initiative peut paraître inconcevable, et sans doute aurait-elle des effets terriblement perturbateurs sur les plans économique et politique. Mais ce qui est vraiment inconcevable, c’est de continuer sur la même voie en imposant des plans d’austérité toujours plus durs à des pays ayant des taux de chômage comparables à celui de l’Amérique pendant la crise de 1929. Si les dirigeants européens voulaient vraiment sauver l’euro, ils opteraient pour une autre solution, assez évidente. L’Europe a besoin d’une politique monétaire plus expansionniste, avec une volonté affirmée de la Banque centrale européenne (BCE) d’accepter une légère hausse de l’inflation. Elle a aussi besoin d’une politique budgétaire expansionniste, avec un budget allemand qui neutraliserait l’austérité en Espagne et dans les autres pays en difficulté situés à la périphérie de l’Europe, au lieu de la renforcer comme aujourd’hui. Ces politiques n’empêcheraient pas ces pays de vivre des années très difficiles, mais au moins feraient-elles naître l’espoir d’une reprise. Or nous sommes aujourd’hui confrontés à un manque total de souplesse. En mars, les dirigeants européens ont signé un pacte budgétaire qui impose l’austérité comme la solution à tous les problèmes. De son côté, la BCE proclame sa volonté d’augmenter les taux d’intérêt au moindre signe d’inflation. Il est difficile, dans de telles conditions, d’échapper au désespoir. Plutôt que d’admettre leurs erreurs, les dirigeants européens semblent déterminés à jeter leur économie – et leur société – du haut de la falaise. Et c’est le monde entier qui en fera les frais. Vers le haut Le Temps © 2012 Le Temps SA

vendredi, avril 13, 2012

Sixième congrès de Banalyse (l'observation du banal), qui se tenait à une halte ferroviaire qui jouxtait le viaduc des Fades sur la ligne SNCF Montluçon — Clermont-

Échangeriez-vous votre voiture contre deux Trabant ? * Présentation * Séances Genre : Documentaire Réalisé par : Patrick Viret Nationalité : français Sortie en salle le : 4 avril 2012 Production : 2012 Durée : 1 heure 43 minutes Classement : Tous publics Couleur Le film débute en 1987, à l’occasion du sixième congrès de Banalyse (l'observation du banal), qui se tenait à une halte ferroviaire qui jouxtait le viaduc des Fades sur la ligne SNCF Montluçon — Clermont-Ferrand. La seconde partie du documentaire, qui se situe trois ans après, propose une peinture d'une Prague inconnue vue par le regard de les banalystes tchèques ou français. Vingt ans après, le film est devenu de fait une page d’histoire inattendue entre l’Ouest et l’Est et le témoignage d’une entreprise singulière de résistance au consumérisme qu’il soit repu ou frustré. Mise en ligne ce jour par BNlyt N° 1022

mercredi, avril 04, 2012

La Campagne à vélo...est passée par Nantes

Telerama en parle cette semaine... Cultura Gloria...il y a 5 ans Raphaël était passé à Marcillat en Combrailles..visiter le Sénateur Barraux..qui lui avait rendu la monnaie de sa pièce. Ils sont aujourd'hui en Vendée..après Parthenay. Bravo Raphaël les photos sont toujours aussi belles....comme celles de Trezelles en 2007. Un documentaire à venir sur France television.. Claude http://www.facebook.com/lacampagneavelo