Un Parisien à travers Paris...à ne pas manquer
Philippe Meyer
Un Parisien à travers Paris
Robert Laffont - 2009
"C'est ici, lecteur, un livre «à sauts et à gambades». Rien d'autre qu'un assemblage de tableaux et de croquis rapportés de ses promenades par un amoureux de Paris qui après et comme tant d'autres a trouvé dans cette ville et grâce à elle l'énergie et les moyens de la liberté, les promesses de la diversité, les surprises des rencontres, la hardiesse des générations précédentes, les énigmes de la beauté.
«C'est à Paris que les ambitions, les préjugés et les tyrannies des provinces viennent se perdre et s'anéantir», écrivait Bernardin de Saint-Pierre. La province de mon enfance n'était qu'une banlieue et ses tyrannies me semblaient plus terribles qu'elles ne l'étaient réellement, mais Paris, j'en étais sûr, était la condition sans laquelle aucun de mes projets ne pourrait être mené à bien. Je suis donc devenu parisien dès que j'en ai eu l'âge. J'ai habité les arrondissements les plus dissemblables. Si on les arpente sans idée préconçue, la curiosité s'y nourrit constamment de ce qu'elle découvre : c'est sa récompense que de n'en avoir jamais fini avec Paris. Un lieu y répond à un autre, le complète, le contredit ou le questionne. Le présent le plus neuf y renvoie à quelque épisode du passé qui l'éclaire, en augmente la saveur, en élargit la compréhension."
- 4e de couverture -
Un Parisien à travers Paris
Robert Laffont - 2009
"C'est ici, lecteur, un livre «à sauts et à gambades». Rien d'autre qu'un assemblage de tableaux et de croquis rapportés de ses promenades par un amoureux de Paris qui après et comme tant d'autres a trouvé dans cette ville et grâce à elle l'énergie et les moyens de la liberté, les promesses de la diversité, les surprises des rencontres, la hardiesse des générations précédentes, les énigmes de la beauté.
«C'est à Paris que les ambitions, les préjugés et les tyrannies des provinces viennent se perdre et s'anéantir», écrivait Bernardin de Saint-Pierre. La province de mon enfance n'était qu'une banlieue et ses tyrannies me semblaient plus terribles qu'elles ne l'étaient réellement, mais Paris, j'en étais sûr, était la condition sans laquelle aucun de mes projets ne pourrait être mené à bien. Je suis donc devenu parisien dès que j'en ai eu l'âge. J'ai habité les arrondissements les plus dissemblables. Si on les arpente sans idée préconçue, la curiosité s'y nourrit constamment de ce qu'elle découvre : c'est sa récompense que de n'en avoir jamais fini avec Paris. Un lieu y répond à un autre, le complète, le contredit ou le questionne. Le présent le plus neuf y renvoie à quelque épisode du passé qui l'éclaire, en augmente la saveur, en élargit la compréhension."
- 4e de couverture -