200 chambres 200 salles de bains aux éditions du Sonneur
200 chambres 200 salles de bains est écrit au Palace Hôtel de Bussaco, non loin de Coimbra, au Portugal. En cette nuit d’insomnie, Valery Larbaud évoque le voyage, la vie d’hôtel et ses personnages, avec la particularité, ainsi que le souligne Alberto Manguel dans sa préface, de proposer « un livre de voyage à l’arrêt, où l’écrivain s’assied et observe tandis que le monde avance sous ses yeux comme un fleuve qui coule. »
L’AUTEUR
Fils unique d’un père pharmacien propriétaire des sources de Vichy Saint-Yorre décédé huit ans après sa naissance, Valery Larbaud (1881-1957) est élevé par sa mère. Rentier grâce à la fortune familiale, il effectue de longs voyages en Europe et fréquente de nombreuses stations thermales pour soigner sa santé fragile. En 1911 paraît son premier roman, Fermina Márquez, bientôt suivi de A. O. Barnabooth. Parlant l’allemand, l’italien, l’espagnol et l’anglais, il fait découvrir en France des auteurs tels que James Joyce, Samuel Butler, Walt Whitman, William Faulkner ou Jorge Luis Borges. En 1935, une hémorragie cérébrale le rend hémiplégique et aphasique, l’immobilisant dans un fauteuil durant les vingt-deux dernières années de sa vie.
Gravures de Jean-Emile Laboureur • Préface d'Alberto Manguel
L’AUTEUR
Fils unique d’un père pharmacien propriétaire des sources de Vichy Saint-Yorre décédé huit ans après sa naissance, Valery Larbaud (1881-1957) est élevé par sa mère. Rentier grâce à la fortune familiale, il effectue de longs voyages en Europe et fréquente de nombreuses stations thermales pour soigner sa santé fragile. En 1911 paraît son premier roman, Fermina Márquez, bientôt suivi de A. O. Barnabooth. Parlant l’allemand, l’italien, l’espagnol et l’anglais, il fait découvrir en France des auteurs tels que James Joyce, Samuel Butler, Walt Whitman, William Faulkner ou Jorge Luis Borges. En 1935, une hémorragie cérébrale le rend hémiplégique et aphasique, l’immobilisant dans un fauteuil durant les vingt-deux dernières années de sa vie.
Gravures de Jean-Emile Laboureur • Préface d'Alberto Manguel