Marc Blondeau s’installe à Genève 2001 dans l' Oeil
Marc Blondeau s’installe à Genève
L'Oeil - n° 524 - Mars 2001
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Quand Marc Blondeau ouvre en 1987 son cabinet d’expertises et de conseils, les galeries françaises prédisent à l’ancien directeur de Sotheby’s France un sombre avenir. Depuis, deux anciens de Sotheby’s (Etienne Breton, puis Alexandre Pradère) l’ont rejoint au 11, rue de Miromesnil. « Ce concept personnalisé répondait à une demande », raconte l’expert en peinture impressionniste et moderne, conseiller de grandes personnalités comme François Pinault. A 56 ans, il décide de s’installer à Genève pour « redynamiser » le bureau parisien. « J’ai pris cette décision quand j’ai compris que les trois maisons de ventes internationales, dont deux appartiennent à des Français n’allaient pas, pour des raisons fiscales, s’installer à Paris. De plus, en France, il y a toujours cette menace d’inclure les œuvres d’art dans l’ISF ». Alors à Genève, « plaque tournante entre l’Europe et les Etats-Unis », l’ancien assistant de Maurice Rheims et de Charles Durand-Ruel partagera ses locaux du 5, rue de la Muse avec le Genevois Simon Studer. Collectionneur, il envisage également d’exposer des artistes contemporains. « Moi aussi je suis pris par cette maladie de la collection. C’est d’ailleurs pour ne pas posséder que j’expose ».
Schmit Sophi
L'Oeil - n° 524 - Mars 2001
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Quand Marc Blondeau ouvre en 1987 son cabinet d’expertises et de conseils, les galeries françaises prédisent à l’ancien directeur de Sotheby’s France un sombre avenir. Depuis, deux anciens de Sotheby’s (Etienne Breton, puis Alexandre Pradère) l’ont rejoint au 11, rue de Miromesnil. « Ce concept personnalisé répondait à une demande », raconte l’expert en peinture impressionniste et moderne, conseiller de grandes personnalités comme François Pinault. A 56 ans, il décide de s’installer à Genève pour « redynamiser » le bureau parisien. « J’ai pris cette décision quand j’ai compris que les trois maisons de ventes internationales, dont deux appartiennent à des Français n’allaient pas, pour des raisons fiscales, s’installer à Paris. De plus, en France, il y a toujours cette menace d’inclure les œuvres d’art dans l’ISF ». Alors à Genève, « plaque tournante entre l’Europe et les Etats-Unis », l’ancien assistant de Maurice Rheims et de Charles Durand-Ruel partagera ses locaux du 5, rue de la Muse avec le Genevois Simon Studer. Collectionneur, il envisage également d’exposer des artistes contemporains. « Moi aussi je suis pris par cette maladie de la collection. C’est d’ailleurs pour ne pas posséder que j’expose ».
Schmit Sophi
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