Sur Sebald>>via le blog de Pierre Assouline..bravo..un livre à lire
# Rédigé par : henri zerdoun | le 13 février 2009 à 13:24 | Alerter
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@ Pierre Assouline
J’ai le livre très beau entre les mains. Suavité des volumes aux couvertures lisses et douces d’Actes Sud. Et ce regard dressé par l’invisible. Ah, belle joie de lecture en perspective ! mais ce n’est pas L’archéologie de la mémoire, c’est L’archéologue…
J’ai lu en marchant dans la rue, en essayant de ne pas terminer le nez dans le ruisseau. A qui la faute si c’était arrivé ? ni à Voltaire, ni à Rousseau !
J’ai lu donc l’avant-propos de Lynne Sharon Swartz. Pour vous et pour Henri .Z, page 13 :
“Le narrateur sébaldien est un arpenteur, ses voyages le conduisent à sillonner les villes italiennes et les banlieues new-yorkaises à bord d’un train, à parcourir à pied les terres partiellement abandonnées de la campagne anglaise, à approfondir l’histoire de chaque localité traversée. Il passe des nuits d’insomnie, de désespoir dans des chambres d’hôtel sordides….Il visite des musées désertés, des “collections de curiosités” ; il photographie des paysages, des rues, des monuments, les talons de ses tickets d’entrée. Ses livres sont connus pour les photographies qui s’y trouvent disséminées, des photos… en noir et blanc… comme autant de traces de de la présence des défunts ou de lieux disparus, pièces à conviction attestant de son passage….”
Ah, c’est bien ce livre !
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@ Pierre Assouline
J’ai le livre très beau entre les mains. Suavité des volumes aux couvertures lisses et douces d’Actes Sud. Et ce regard dressé par l’invisible. Ah, belle joie de lecture en perspective ! mais ce n’est pas L’archéologie de la mémoire, c’est L’archéologue…
J’ai lu en marchant dans la rue, en essayant de ne pas terminer le nez dans le ruisseau. A qui la faute si c’était arrivé ? ni à Voltaire, ni à Rousseau !
J’ai lu donc l’avant-propos de Lynne Sharon Swartz. Pour vous et pour Henri .Z, page 13 :
“Le narrateur sébaldien est un arpenteur, ses voyages le conduisent à sillonner les villes italiennes et les banlieues new-yorkaises à bord d’un train, à parcourir à pied les terres partiellement abandonnées de la campagne anglaise, à approfondir l’histoire de chaque localité traversée. Il passe des nuits d’insomnie, de désespoir dans des chambres d’hôtel sordides….Il visite des musées désertés, des “collections de curiosités” ; il photographie des paysages, des rues, des monuments, les talons de ses tickets d’entrée. Ses livres sont connus pour les photographies qui s’y trouvent disséminées, des photos… en noir et blanc… comme autant de traces de de la présence des défunts ou de lieux disparus, pièces à conviction attestant de son passage….”
Ah, c’est bien ce livre !
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