la montagne : Jeu des 1.000 euros : Nicolas Stoufflet joue à domicile à Creuzier le Vieux...
Jeu des 1.000 euros : Nicolas Stoufflet joue à domicile
En septembre dernier, Nicolas Stoufflet a remplacé Louis Bozon aux manettes du Jeu des 1.000 euros. Il enregistre, demain, à 18 h 30, à la salle des fêtes de Creuzier-le-Vieux. L'animateur sera un peu chez lui.
«Je suis né à Chamalières, mais j'ai aussi de bons souvenirs de mes week-ends à Creuzier-le-Neuf. » La maison de campagne de ses parents. Il y était encore pas plus tard que la semaine dernière. Et il y sera demain soir. Enfin, à deux pas. À 18 h 30, à la salle des fêtes de Creuzier-le-Vieux, le nouvel animateur de l'un des plus anciens jeux radiophoniques enregistre trois émissions.
« Ce n'est pas exactement l'émission la plus ancienne, Le Masque et la plume a 52 ans ! En revanche, c'est le seul jeu à avoir 50 ans d'histoire. » Une lourde responsabilité pour Nicolas Stoufflet qui, depuis septembre, fait le tour de France avec ce quiz familial, diffusé à l'heure du déjeuner (12 h 45).
« J'adore cette vie. Les gens portent un regard affectif plus que pécuniaire sur le jeu. Même si le Jeu des 1.000 francs a aussi subi l'inflation avec l'euro. »
Une orientation professionnelle que l'ex-présentateur du 5-7 sur France Inter ne regrette pas : « J'en avais marre de me lever tous les jours à 3 heures du mat'. J'ai toujours voulu être animateur plus que journaliste. La radio, c'est une passion totale. J'ai commencé d'animer les petits matins sur Radio France Puy-de-Dôme, en 1983. » Au grand désespoir de ses parents (une mère avocate, un père prof de droit des affaires) qui pensait alors à une erreur de jeunesse.
Nicolas Stouffletl a repris un rôle tenu pendant trente ans par Lucien Jeunesse, puis treize ans par Louis Bozon. Une lourde succession. « Je pense que Louis a eu beaucoup plus de pression que moi en remplaçant Lucien, véritable monument radiophonique. »
Nicolas Stoufflet continue de draîner peu ou prou un million d'auditeurs par jour. Le petit nouveau s'est coulé dans le moule. Et l'audience continue de battre des records.
La formule n'a d'ailleurs presque pas changé depuis ses débuts : présentation de la ville d'accueil, traditionnelle sélection des candidats puis les questions des auditeurs posées aux deux candidats retenus. Géographie, littérature, vocabulaire, cinéma, musique classique? tout y passe, avec différents niveaux de difficulté : questions bleues, blanches ou rouges.
Réglé comme une bonne partition, vient ensuite le moment du « banco » scandé en c'ur par le public ; et si la chance est au rendez-vous, le moment du « super-banco ».
Nicolas Stoufflet il a pris les clés du camion sans changer les fondations de ce jeu qui s'adresse au plus grand nombre.
« Ce n'est pas une émission élitiste mais généraliste. Avec des tranches d'âges très variées. On capte aussi les jeunes avec nos spéciales étudiants. Moi, tous les jours, j'apprends des trucs. Certains candidats sont impressionnants. On ne les voit pas venir. Il peut être boucher comme ingénieur. C'est la magie de ce jeu. Et puis j'ai toujours aimé le contact avec le terrain. Là, on participe à la vie des gens dans les petits villages, parfois à la troisième mi-temps. L'ambiance est très bon enfant. »
Une vie de nomade qui l'amuse : « Je ne suis sur les routes qu'une semaine toutes les trois semaines. On emmagasine plusieurs émissions dans une commune. J'ai été plutôt ravi lorsque j'ai appris que Creuzier-le-Vieux avait fait une demande. » Nicolas Stoufflet sera, en effet, un peu sur ses terres.
Sélection et enregistrement à la salle des fêtes, demain, à 18 h 30 (adultes et spéciale jeunes). Diffusion sur France Inter les 8, 9 et 10 juin.
En septembre dernier, Nicolas Stoufflet a remplacé Louis Bozon aux manettes du Jeu des 1.000 euros. Il enregistre, demain, à 18 h 30, à la salle des fêtes de Creuzier-le-Vieux. L'animateur sera un peu chez lui.
«Je suis né à Chamalières, mais j'ai aussi de bons souvenirs de mes week-ends à Creuzier-le-Neuf. » La maison de campagne de ses parents. Il y était encore pas plus tard que la semaine dernière. Et il y sera demain soir. Enfin, à deux pas. À 18 h 30, à la salle des fêtes de Creuzier-le-Vieux, le nouvel animateur de l'un des plus anciens jeux radiophoniques enregistre trois émissions.
« Ce n'est pas exactement l'émission la plus ancienne, Le Masque et la plume a 52 ans ! En revanche, c'est le seul jeu à avoir 50 ans d'histoire. » Une lourde responsabilité pour Nicolas Stoufflet qui, depuis septembre, fait le tour de France avec ce quiz familial, diffusé à l'heure du déjeuner (12 h 45).
« J'adore cette vie. Les gens portent un regard affectif plus que pécuniaire sur le jeu. Même si le Jeu des 1.000 francs a aussi subi l'inflation avec l'euro. »
Une orientation professionnelle que l'ex-présentateur du 5-7 sur France Inter ne regrette pas : « J'en avais marre de me lever tous les jours à 3 heures du mat'. J'ai toujours voulu être animateur plus que journaliste. La radio, c'est une passion totale. J'ai commencé d'animer les petits matins sur Radio France Puy-de-Dôme, en 1983. » Au grand désespoir de ses parents (une mère avocate, un père prof de droit des affaires) qui pensait alors à une erreur de jeunesse.
Nicolas Stouffletl a repris un rôle tenu pendant trente ans par Lucien Jeunesse, puis treize ans par Louis Bozon. Une lourde succession. « Je pense que Louis a eu beaucoup plus de pression que moi en remplaçant Lucien, véritable monument radiophonique. »
Nicolas Stoufflet continue de draîner peu ou prou un million d'auditeurs par jour. Le petit nouveau s'est coulé dans le moule. Et l'audience continue de battre des records.
La formule n'a d'ailleurs presque pas changé depuis ses débuts : présentation de la ville d'accueil, traditionnelle sélection des candidats puis les questions des auditeurs posées aux deux candidats retenus. Géographie, littérature, vocabulaire, cinéma, musique classique? tout y passe, avec différents niveaux de difficulté : questions bleues, blanches ou rouges.
Réglé comme une bonne partition, vient ensuite le moment du « banco » scandé en c'ur par le public ; et si la chance est au rendez-vous, le moment du « super-banco ».
Nicolas Stoufflet il a pris les clés du camion sans changer les fondations de ce jeu qui s'adresse au plus grand nombre.
« Ce n'est pas une émission élitiste mais généraliste. Avec des tranches d'âges très variées. On capte aussi les jeunes avec nos spéciales étudiants. Moi, tous les jours, j'apprends des trucs. Certains candidats sont impressionnants. On ne les voit pas venir. Il peut être boucher comme ingénieur. C'est la magie de ce jeu. Et puis j'ai toujours aimé le contact avec le terrain. Là, on participe à la vie des gens dans les petits villages, parfois à la troisième mi-temps. L'ambiance est très bon enfant. »
Une vie de nomade qui l'amuse : « Je ne suis sur les routes qu'une semaine toutes les trois semaines. On emmagasine plusieurs émissions dans une commune. J'ai été plutôt ravi lorsque j'ai appris que Creuzier-le-Vieux avait fait une demande. » Nicolas Stoufflet sera, en effet, un peu sur ses terres.
Sélection et enregistrement à la salle des fêtes, demain, à 18 h 30 (adultes et spéciale jeunes). Diffusion sur France Inter les 8, 9 et 10 juin.
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