Serge Alzerat..vue par jean Luc Petitrenaud avec Macha Meril
On lève donc notre premier verre à l’amie George SAND. Nous sommes dans un véritable bistrot tenu par Serge Alzerat, un vrai aubergiste de campagne installé au pied de la tour Montparnasse. Macha choisit un verre de valençay blanc en hommage à Michel Denisot qui en parle si bien. « J’adore le sauvignon qui sent la verdure, le pipi de chat... » L’aubergiste et Macha s’entendent comme deux mistigris sur ce sujet. Macha ne parle pas... elle voltige... « Je suis un quart russe, un quart italienne, un quart française et le dernier quart est fait de curiosité. Je suis changeante, je ne peux être identifiée. Rien n’est immobile... » Le jambon, le saucisson, l’andouillette entourent ce sauvignon qui se lape avec fantaisie.
Chez Serge Alzerat, les villes et leurs produits défilent au rythme des gares de province. Notre autorail du plaisir fait escale à Brouilly, à Roanne, à Moulins, à Charolles. « Ce que l’on mange reflète ce que l’on est. La table rend intelligent. Philippe Faure-Brac (meilleur sommelier du monde) m’a appris les vins de pays, c’est mon jus principal, ma sève. »
Chez Serge Alzerat, les villes et leurs produits défilent au rythme des gares de province. Notre autorail du plaisir fait escale à Brouilly, à Roanne, à Moulins, à Charolles. « Ce que l’on mange reflète ce que l’on est. La table rend intelligent. Philippe Faure-Brac (meilleur sommelier du monde) m’a appris les vins de pays, c’est mon jus principal, ma sève. »
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